des rangées de tombes s'alignaient, droites, imperturbables, nobles. j'aimais vraiment parcourire ces mortes allées, avec pour seul compagnie oeuil de nuit, mon loup. l'astre de nuit, faucille d'or dans ce ciel d'ébêne éclairais nos pas. j'était a ma place. je m'assis en tailleur pour méditer. les heures défilaient, quelques temps plus tard , mon ami me dit:
*allons chasser, j'ai faim.*
*très bien, allons-y*
nous nous dirigâmes alors vers la forêt.